Mbound

Mesdames, je vous propose de ne pas rester sur la plage à bronzer bêtement. Il faut joindre l'utile à l'agréable
Profitez bien sur des joies de la plage pour bronzer en toute quiétude, profitez du soleil, de la mer, du sable mais profitez en aussi pour satisfaire votre gout pour le bondage. Prenez même une copine avec vous, vous vous sentirez moins seules
Vous serez alors au comble de votre béatitude, alliant par là même les deux grands loisirs dignes de vous, lézarder à la plage et se faire ligoter

Le bondage peut se pratiquer par tous et partout. Etre totalement ligotée  parmi une nature superbe peut être une des joies de la bondagée. Elle peut tout à loisir, aura tout le temps de  faire corps, de communier et de contempler ce paysage magnifique
Etre bondagée, c'est être lier totalement à sa nature, à la nature, aux éléments qui vous entoure et vaille sur vous. Oui, mesdames, essayez le bondage. En tout lieu, en toute circonstance. Je ne peux que vous conseiller cette thérapie pour découvrir le monde extérieur mais aussi votre monde intérieur, ces deux mondes qui en fin de compte se rejoignent totalement
Ce qui peut  même donner la jolie définition du corps qui serait a limite entre le monde intérieur et le monde extérieur

L'une  des principales leçons du bondage est l'acquisition de l'humilité. 
Humilité face à son propre corps, dont on a plus ou moins plus le contrôle. Ce corps d'habitude si facile à contrôler est privé de tout ou parti de ses mouvements. Cela fait prendre conscience à la soumise l'importance de son corps
l'humilité face au temps en apprenant la patience, qui n'est autre que l'humilité face au temps, l'autre qualité indispensable à une soumise
L'humilité face à celui qui détient la clef, celui qui vous détachera. Le soulagement de la libération crée d'ailleurs un grand soulagement et la soumise souvent ne peux que remercier son bondageur
Et vous pouvez rajouter comme sur la photo quelques ingrédients relevant les effets bénéfiques du bondage sur la soumise comme un lieu inquiétant, un posture inconfortable, des fers froids et lourds, et bien d'autres choses selon votre imagination sans oublier l'imagination  de la soumise elle même
En tout cas, cela favorise grandement l'une des qualités essentielles de l'humanité face aux forces immenses qui nous animent

Les liens de la bondagée sont comme les cordes du ring. Entre tes cordes, se joue la lutte  intérieur de la soumise
Les cordes délimitent la zone du combat, où s'entremêlent férocement les divers sentiments et sensations traversant la bondagée
Mais le sport a ses règles. Quand on rentre sur le ring, on ne s'y attend pas à y trouver la paix de l'âme. Quand on y rentre, c'est pour y subir de violentes tensions, de douloureuses blessures, et le combat cruel laissera toujours des traces

Le bondage, c'est la croix qu'on porte. Une croix esthétique, visible ou invisible selon le degré de sa soumission. Le bondage, c'est porter la misère du monde, c'est porter et montrer sa misérable existence face à l'immensité de ses pulsions et de ses besoins vitaux. De son envie viscérale de vie.
Le bondage, c'est avouer qu'on est petit face à l'humanité, c'est se montrer humble face à sa propre existence et c'est montrer qu'on ne vit que par le regard de l'autre
Le bondage est incommensurable, et c'est confronter sa peau à la rigueur d'une existence constamment troublée par une autorité qui nous dépasse.
Le bondage, c'est mettre en réalité les profondeurs de la destinée.
Qui peut porter au mieux le bondage qu'une femme, créatrice de vie. Si forte et si fragile à la fois