bondage et soumission
A l’image de l’omette, une bonne bondagée est baveuse
Ce qui me fait penser à ce bien mauvais aphorisme :
Pour qu’une soumise soit bien bondagée, il faut qu’elle en bave
Celle-ci, obligée de baver, se rend bien compte qu’à son corps défendant, elle se met à saliver abondamment, lui imposant irrémédiablement sa métamorphose à l’état de bête.
Sa bouche devient gueule, ses membres deviennent pattes, son corps devient primaire, et son orgueil diminue à mesure que sa bave se répand sur le sol
Son incontinence manifeste la rend humble et lui fait prendre conscience de son indécence en faisant remonter des sentiments sauvages
Elle se sent chienne et des chaleurs incontrôlées se disperseront au travers de ses chairs intimes