bondage et soumission

 

A l’image de l’omette, une bonne bondagée est baveuse

Ce qui me fait penser à ce bien mauvais aphorisme :

Pour qu’une soumise soit bien bondagée, il faut qu’elle en bave

Celle-ci, obligée de baver, se rend bien compte qu’à son corps défendant, elle se met à saliver abondamment, lui imposant irrémédiablement sa métamorphose à l’état de bête.

Sa bouche  devient gueule, ses membres deviennent pattes, son corps devient primaire, et  son orgueil diminue à mesure que sa bave se répand sur le sol

Son incontinence manifeste la rend humble et lui fait prendre conscience de son indécence  en faisant remonter des sentiments sauvages

Elle se sent chienne et des chaleurs incontrôlées se disperseront au travers de ses chairs intimes

 

Mer 25 aoû 2010 Aucun commentaire