Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Je vais revenir une fois pour toute sur le public auquel je m'adresse
Ce blog parle de soumission et de domination, donc de soumise et de dominateur. C'est selon moi c'est l'étape ultime, expurgé de ses habits de nos conventions du rapport homme-femme (gay pour les
intéressés).
Ce blog s'intéresse à çà et rien qu'à çà et ne s'intéresse nullement à l'être humain que vous êtes et que je respecte
Alors revenons donc sur les acteurs de cette relation
La relation soumise-dominant est avant tout faite par des êtres humains, avec leurs qualités et leurs défauts. Un homme brutal sera un
maitre brutal. Il ne faut pas se leurrer. Le désir est avant tout brutal car l'afflux mou de sang dans un sexe d'homme donne un sexe mou. L'afflux brutal du sang dans un sexe d'homme fait un sexe
dur. Le désir est par essence violent. La brutalité ou la douleur peut être recherchée par la soumise. Tout n'est que question de consentement et de pratiques
De toute façon, la vie elle même est brutale. La mouche la plus sotte ne vous fera aucun mal même si elle rate lamentablement son atterrissage. L'eau de pluie s'abat brutalement sur votre peau et
n'en est pas moins une caresse bien agréable. Pourtant elle peut devenir une torture bien plus grande que le fouet
Comme rapport ultime, ritualisé, cette relation ne peut dénier la douleur et la brutalité
De toute façon, le rapport à la douleur est tout personnel. Dans son rôle d'éducateur, le maitre a comme rôle principal la gestion du rapport à la douleur de sa soumise. C'est même un des buts avoué de cette relation. C'est ritualiser le rapport à la douleur de la soumise. Pour mieux l'expier
C'est bien pour çà que c'est la soumise qui choisit son maitre. C'est avant tout elle qui initialise et rompt le contrat entre elle et son maitre car c'est elle qui en subira les principales conséquences.
Il n'y a pas de relation viable entre être humains s'il n'y a pas consentement mutuel et convergence d'intérêt et la relation BDSM n'y déroge pas.
Le choix que la soumise fait est à la limite le plus important dans la relation. Car c'est elle qui donne le top de départ et ses
propres limites
C'est avant tout elle la maitresse de sa soumission et j'ose dire que le maitre est soumit à sa domination
Tout çà pour vous dire que sur certains site ou blog où vous pourrez lire les délices de la tendre fessée, le faux romantisme d'une relation fade et édulcorée qui n'a rien à voir avec la relation dominée-dominant. Cette relation est bien plus qu'un rose fantasme. Le passage à l'acte est toujours brutal mais sainement brutal. C'est lui qui donne la réalité à nos pulsions et qui en donne un sens