Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Les commandements d'une soumise n'est sont surement pas au nombre d'une décade. C'est bien trop. Sept suffisent largement. Il faut concentrer beaucoup plus les
ordres à lui donner. On doit aller à l'essentiel et l'essentiel est bien sur résumé dans les sept pêchés capitaux. C'est facile à retenir et facilement applicable
Je vous rappelle donc ceux ci ; la paresse, l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la convoitise et l'envie
La paresse est bien sur refusée à la soumise. La soumise est la main ouvrière des envies de son maître. Même attachée, elle n'a pas le droit à l'oisiveté. Elle est en charge des
basses oeuvres de la maison et en général de tout ce que son maître n'a pas s'abaisser à faire
l'orgueil fait parti d'un des principaux travaux auxquels la soumise doit s'attacher. Oter l'orgueil qui est en elle, la chasser impitoyablement au prix d'efforts continus et
importants, avec ou sans l'aide de son maître
la gourmandise fait parti de la panoplie des frustrations que la soumise doit se soumettre. C'est le symbole du renoncement de la soumise. C'est le renoncement aux plaisirs
simples de la vie
la luxure se comprend très bien où les plaisirs de la chair lui seront refusé, du moins entièrement contrôlés et savamment distillés. La soumise est l'objet sexuel par
excellence.
L'avarice peut se comprendre par le don sans faille du corps de la soumise en faveur de son maître. Elle doit s'offrir sans retenue, corps et âme, en toute sincérité
La convoitise n'est pas permis à la soumise. Elle doit se contenter de sa soumission et d'y concentrer toute son attention sans se préoccuper des conséquences ni de
l'environnement qui pourrait perturber son chemin de soumission
L'envie n'a aucun sens pour la soumise étant considérée comme un objet, un outil, une extension des envies du maître. Ses envies sont parti négligeable face aux envies du maître
mit en lieu et place des propres envies de la soumise
En conclusion, les sept pêchés capitaux sont un bon résumé, une belle symbolique, de l'état dans lequel la soumise se condamne à être, pour une heure ou une vie, pour un instant ou
pour l'éternité, pour un maître ou pour un dieu, mais surtout face à elle même