Ceci est un espace pour les adeptes de la soumission féminine, du bondage à l'humiliation, en passant par la fessée. Pour se rencontrer, discuter,
échanger sans tabou nos pulsions communes.
Ceux qui sont choqués peuvent s'en aller, je ne demande simplement que le bon consentement des bonnes règles de notre propre liberté
Mélangeons nous, partageons tout
Une question d’ordre général est étonnante
Pourquoi les hommes passent leur temps à imaginer les pires fantasmes sur des belles inconnues mais n’oseraient jamais avouer à leur femme ce qu’ils imaginent sur d’autres
Et pour les femmes, c’est exactement l’inverse.
Elles seraient prêtes à tous les sacrifices pour un grand amour mais il serait hors de question d’accorder à un amour de passage un quelconque de leurs fantasmes interdits
On peut imaginer un monde ou la logique serait inverse. Où ce serait les hommes qui prendrait la place des femmes et inversement. Ce serait marrant. Un monde de domination féminine, peut être.
En retournant à nouveau cette logique, ce qui me paraitrait beaucoup plus cohérent, ce serait d’oser faire ses fantasmes les pires avec celui ou celle qui partage sa vie.
Mais cette logique demande un courage que peu ont, de la part du mec mais aussi des femmes.
Aimer l’autre, c’est avoir le courage d’accepter tout de lui. En tant qu’école de courage et de franchise, le BDSM a vraiment un grand avenir.
Messieurs, mesdames, avouez vos fantasmes à vos compagnons. Faites preuve de franchise et avouez à celui ou celle qui partage votre vie ce que vous avez réellement envie de lui faire ou de subir. Vous verrez, cela vous fera du bien, cela fera du bien à votre couple. Vous m’en direz des nouvelles.
Voilà comme une vraie soumise, une femme qui veut aller au bout de sa soumission et la vivre pleinement doit avoir la laisse.
On voit plein de filles se faire tenir en laisse. Généralement avec un collier autour du cou. Pour se donner la légère impression qu’elles ne baisent pas par habitude, pour leur donner l’impression qu’elles sont différentes, un peu perverse, un peu plus excitante à leur compagnon.
Mais cela s’arrête bien vite et le poids social réapparait bien vite.
Facile et agréable à porter. Avec cette laisse, la sensation sera beaucoup plus profonde si j’ose dire.
Votre maître vous tiendra en laisse à travers le god que vous aurez dans le cul. Et il vous fera marcher où bon lui semblera.
Pouvant être beaucoup plus discret que le collier autour du cou, la laisse god sera d’un bon usage en tout lieu, en toute circonstance
Elle aura le grand avantage d’être cachée et ressortie à tout moment si vous avez les vêtements adéquats.
Comme quoi les soumises ont beaucoup à apprendre aux femmes.
Ce fameux sigle dans le milieu BDSM veut dire : total exchange of power
Je préfère dire moi : Total exchange of Pleasures.
A mon sens, le pouvoir n’est qu’illusion et le BDSM est réellement et avant tout un échange de plaisir.
La sphère intime n’a cure du pouvoir. Elle est à la recherche de plaisir.
Ne mettons pas des mots savants pour cacher notre vraie nature.
On ne cachera pas la réalité crue de nos instincts.
Il n’y a aucune honte à avoir du plaisir dans la douleur et l’humiliation, dans nos décadences. On peut même y trouver de la fierté.
Il n’y a aucune honte à trouver du plaisir. Il n’y a aucune honte à trouver du plaisir quand on se fait du bien, quand on fait du bien à l’autre. Mais il n’y a aucune honte aussi à trouver du plaisir à se faire du mal ou à faire du mal à l’autre.
Notre recherche de plaisir est hadal (Je viens de découvrir ce mot, je le mets donc, çà fait riche !!!) et la fin justifie les moyens.
Sans plaisir, rien n’est viable. Vive le plaisir, vivre son plaisir.
Quand je vous disais que la soumission, c’est bon pour la santé. La preuve !!!
Cette superbe créature ne peut être qu’une soumise, n’a pu que se donner à bon un maître qui lui a fait perdre ses quelques kilos superflus. Je ne vois pas d’autre régime crédible susceptible d’avoir d’aussi bons résultats
La soumission est bien meilleure qu’un régime traditionnel, c’est le meilleur des régimes
Pas d’effet yoyo, pas de carence, sans aucun effet indésirable, dans un laps de temps record
En se donnant à son maitre, ne lui donne t’on pas aussi ses kilos en trop, non ?
Vu l’évidence de ma phrase, vous ne pourrez être que d’accord
Et tout cela, évidemment, dans la joie et la bonne humeur
Car le régime de la soumission ne s’attaque pas qu’à vos kilos superflus, il s’attaque aussi à vos surcharges pondérales psychologiques. L’un allant avec l’autre d’ailleurs
Alors vite femme, cours te chercher un régime de soumission. Un régime démocratique, bien entendu !!!
Face à face, comme devant un miroir
Sans possibilité de faire le moindre geste, Sans pouvoir parler, sans pouvoir bouger, sans pouvoir même se plaindre. Totalement, ligotée, immobilisée. Tu ne pourras voir en elle que ton égale, ta compagne d’infortune
Tu seras aux première loges pour voir la force de son impuissance, les progrès de son impatience, le dérisoire de ses efforts, le redoublement de son inconfort
Tu pourras voir ses moments d’abattement et d’angoisse, ses révoltes inutiles et le ridicule de sa situation
Tu pourras voir tout çà en sachant que ce ne sera que le reflet de ta propre image, le reflet de ta propre captivité et de ta propre solitude
En sachant qu’elle aussi te voit. En supposant, vu que vous ne pouvez vous parler, qu’elle aussi peut avoir les mêmes réflexions sur toi mais en étant certaine qu’elle ne te sera d’aucune aide, d’aucune utilité dans ta future et tant espérée libération
Vous ne pouvez que partager le dénuement et les lamentations, unies dans vos incapacités et votre double isolement
La nature a horreur du vide nous dit-on
Ce n’est donc pas de notre faute, à nous les garçons, c’est juste notre nature
Les hommes ne sont là que pour remplir un vide
Comment voulez vous que l’on résiste, nous ? !
On parle aussi souvent de la culpabilité des femmes
Mais seraient-elles coupables que d’offrir un vide que l’on s’empresse de remplir
On appelle çà l’appel du vide. Remarquez l’étrange ressemblance entre vide et vice
On pourrait appeler çà l’appel du vice
Pire, elle nous donne le choix.
L’O de-ci, l’O de-là.
Décidemment, la soumise nous révèle et nous offre bien des mystères
Vous serez inlassablement observée, examinée et inspectée
Vos appâts seront énumérés, comptabilisés et estimés
Vous serez ouvertement déshabillée, détaillée, épluchée
Vos seins seront admirés, appréciés et pesés
Vous serez toujours soumise au regard des hommes
Vous serez continuellement convoitée, désirée, fantasmée
Vos fesses seront effleurées, caressées et tripotées
Vous serez évidemment couchée, écartelée et baisée
Votre sexe sera pénétré, transpercé et inondé
Vous serez toujours soumise au regard des hommes
Vous serez constamment exposée, poursuivie, et traquée
Votre corps sera exhibé, révélé et dénudé
Vous serez étrangement déstabilisée, lassée et flattée
Votre féminité sera harcelée, effarouchée et excitée
Vous serez toujours soumise au regard des hommes
Il n’y a que les belles filles pour s’en plaindre
Le reste n’est que littérature.
La soumission est un bon révélateur de la relation amoureuse et de ses enjeux
La force du rapport amoureux est communément évaluée par les actes que l’on serait prêt à faire pour son amour
Quand on aime quelqu’un, la question se pose très vite jusqu’où on est prêt à aller ou à s’investir pour l’autre
Et plus on est prêt à aller loin dans la relation avec l’autre, plus cela nous rassure sur la force de notre amour. C’est exactement ce que la soumission nous démontre
Je ne dis pas que l’amour n’est que çà mais c’est une question qui se pose. L’amour est nourri par les actes que l’on fait pour l’autre et le sacrifice peut faire parti de ces actes
S’il me demandait de faire un sacrifice, est ce que je le ferais ?
Même s’il ne me le demande pas, et même si ce n’est pas un maitre, la question se pose quand même. Je dirais même surtout s’il ne me le demande pas. La question se pose face à son propre questionnement
La question se pose de temps en temps en certaines occasions et toujours à soi-même, que l’on soit soumise ou qu’on ne le soit pas. Si mon amour était en danger, est ce que je pourrais faire tel ou tel sacrifice ? Sans même parler de sacrifice, la question de son engagement est toujours une question primordiale.
Et la question qui vient tout de suite après est est-ce je subirais ce sacrifice avec joie ou sans joie, est ce que je subirais ce sacrifice, je le vivrais comme une épreuve non désirée ou comme une preuve de mon amour
De toute façon, Même si l’épreuve est difficile, la surmonter est fondamentalement valorisant.
La soumission est une bonne réponse aux questions que nous tous pouvons nous poser car elle pose des réponses difficiles mais rassurante sur ses propres capacités
La soumission répond à ces questions en dehors du rapport que l’on peut avoir aux hommes, aux questions qui naissent spontanément en vous
Votre soumission est un jeu de sacrifice, à la fois en se confrontant à la difficulté de son engagement et à la joie d’y avoir surmonté
De part sa nature, les femmes ne peuvent que se mettre en danger
Ouvrir ses cuisses est forcément dangereux. Surtout face au désir masculin
La femme amoureuse s’ouvre et s’offre en toute sécurité, sans hésitation à son plaisir promis.
Elle est persuadée qu’il l’aime aussi et qu’il va utiliser son sexe pour leur plaisir commun
Il va s’enfoncer en elle doucement, tendrement, amoureusement. Elle sait qu’il va lui laisser le temps d’apprivoiser la violence de son désir
Il n’y a bien que la femme amoureuse pour le faire en toute quiétude
Il faut être ou absolument inconsciente ou parfaitement confiante. C’est l’état indéniable des femmes amoureuses
L’endroit est fragile certes, mais on sait aussi que les femmes elles aussi ont des désirs violents. Et le fantasme de l’homme viril est une réalité bien concrète
L’homme viril qui vous la plante, vous la cloue, qui vous punaise laisse aux femmes un gout de vulnérabilité et de fragilité, d’où ses complexes et sa culpabilité
Quand le mobile du sentiment amoureux n’est plus là, la situation se complique, devient dangereuse et donc forcément beaucoup plus intéressante surtout quand les liens du bondage exacerbe ces sentiments, force la femme à ressentir ces sentiments qu’elle s’efforce de cacher et de maîtriser sans succès
Le bondage est là pour renforcer, exprimer et sublimer ces sentiments
Déjà, Le mot est joli.
Con et sensuel. On l’a déjà fait des milliers de fois mais la beauté est éternelle
De plus, le mot consensuel est consensuel. Trop fort.
Même le mot amour n’est pas amour.
Alors essayons de ne pas banaliser ce si joli mot
Consensuel. Ce mot réunit tous les suffrages
Sade s’en retournerait dans sa tombe
Et on peut se poser la question, a-t-il une réalité ?
Comme quoi être maître n’est pas si simple
Etre un bon maître est mettre une dose de non consensualité dans la consensualité
Ou mettre de la non consensualité dans la consensualité
Oh là là !!! Le tourbillon de la vie !! Heureusement que la vie nous oblige à poser des actes.
Un peu come la sensation de sucré salé
Etre consensuel ou ne pas être consensuel. That this the question
