Ceci est un espace pour les adeptes de la soumission féminine, du bondage à l'humiliation, en passant par la fessée. Pour se rencontrer, discuter,
échanger sans tabou nos pulsions communes.
Ceux qui sont choqués peuvent s'en aller, je ne demande simplement que le bon consentement des bonnes règles de notre propre liberté
Mélangeons nous, partageons tout
La domination est une école de vie. On apprend tous les jours à dominer sa soumise, à mieux parfaire son art de la domination. Je voulais souligner par ce petit
billet une partie de la charge de dominant peu souvent souligné.
Je veux parler du devoir d'instruire sa soumise. On doit lui laisser du temps pour s'instruire, au delà de son éducation propre de soumise et de son dressage
journalier.
On doit laisser en quelque sorte sa soumission en latence pour lui permettre de devenir une femme intéressante, parfaitement capable de s'insérer dans la société
publique, capable de parler de tout et de rien. Une femme quoi.
Plus que l'intérêt d'avoir une compagne pas trop inculte, c'est philosophiquement que cela est important puisque le maitre a le devoir de faire évoluer à tout
niveau celle qu'il a prit en charge et qui lui a fait confiance
Quelque soit le niveau d'instruction que la soumise a au début de sa relation, le maitre se doit donc de laisser à sa soumise de temps pour
s'instruire.
De plus, il est beaucoup plus intéressant de soumettre une femme instruite qu'une bécasse inculte. Même si la bécasse offre aussi ses plaisirs particuliers. Mais
ceci est une autre affaire
Les femmes, la femme, comme vous voulez, est un autel où tous les désirs s'engouffrent
Que vous le vouliez ou non, elle est le symbole même du désir. De part sa nature, de part son comportement, de part ses vêtements même.
Que se passe-t-il en dessous de cette jupe, en dessous de ce tee-shirt? Que se cache-t-il dessous ces vêtements?
Le mystère féminin, si proche et si lointain, inaccessible si elle ne donne pas le "la", si proche de par sa nature même
C'est un appel au peuple, qui ne veut que du vin et des femmes. C'est le symbole qui nous rappelle que quelque soit notre rang dans la société, nous faisons parti
du peuple et qui donne une claque à nos envies de devenir bourgeois, voir petit bourgeois
Et ces gens là monsieur, chez ces gens là on ne fait pas l'amour, monsieur, on ne fait pas l'amour. On baise
Tout çà pour dire que la relation dominée dominant nous ramène à notre réalité, à nos pulsions, à notre animalité. Elle nous donne un devoir de franchise et la
première des franchises est d'avouer que nos désirs sont violents, voir brutaux. Et si cette relation nous fait prendre conscience de cela, C'est le premier pas vers la maitrise de nos
pulsions
En en prenant acte, elle nous aide donc à les maîtriser.
C'est pour cela que les femmes sont là pour nous attiser, nous émoustiller, pour révéler nos désirs. A nous d'en faire quelque chose de bien, de dépasser, de
surpasser et enfin dominer nos désirs mutuels
N'importe quel homme a envie d'aller y voir, d'aller voir ce qu'il y a sous ces jupes, aller au fin fond de tout ces mystères, et d'aller se perdre au beau milieu
de ce triangle si étrange, mystérieux et si tentant.
La relation BDSM est ce chemin vers l'inconnu, vers cet inconnu qui nous fait si peur mais qui attise tellement notre curiosité
Le bondage peut se pratiquer par tous et partout. Etre totalement ligotée parmi une nature superbe peut être une des joies de la bondagée. Elle peut tout à
loisir, aura tout le temps de faire corps, de communier et de contempler ce paysage magnifique
Etre bondagée, c'est être lier totalement à sa nature, à la nature, aux éléments qui vous entoure et vaille sur vous. Oui, mesdames, essayez le bondage. En tout
lieu, en toute circonstance. Je ne peux que vous conseiller cette thérapie pour découvrir le monde extérieur mais aussi votre monde intérieur, ces deux mondes qui en fin de compte se rejoignent
totalement
Ce qui peut même donner la jolie définition du corps qui serait a limite entre le monde intérieur et le monde extérieur
A un moment donné, il faut bien appeler un chat un chat. La fonction principale de la soumise est en grande parti de s'atteler aux tâches ménagères telle
que bien évidemment la cuisine
Avant de penser à tout autre activité un peu plus excitante pour la soumise, sa tâche fondamentale est bien de nourrir son maître
Mais me direz vous, ce n'est pas très humiliant que de faire la cuisine, c'est une attribution traditionnellement dévolue aux femmes, qui le font sans être
soumises
Détrompez vous. La soumission se niche partout, tout le monde est soumis à quelque chose, hommes ou femmes d'ailleurs
La but de la relation BDSM n'est que d'amplifier, de donner un rituel à nos soumissions journalières. Le maître n'est-il pas soumis à sa soumise. Il n'est
rien sans sa soumise
Faire la cuisine en n'ayant que sur le dos un tablier ne fait que ritualiser un acte de soumission que font la plupart des femmes de ce monde
La soumission n'est ni la torture, ni la sexualité, ni du bondage, ni de l'exhibition. Ce n'est rien de tout çà et c'est tout çà à la fois
La soumission, c'est l'expression totale et absolue de ce que l'on est prêt à faire pour faire battre son coeur, au plus intime, au plus profond, au delà de
tout
Que l'on ai un maître ou non, que l'on soit au début ou à la fin de son chemin, c'est s'humilier au plus profond de son âme, c'est s'exhiber à tous et en être
fière. C'est une quête vers l'absolu, c'est un prix exorbitant mais fondamental pour qui veux se dépouiller de tout artifice
Déjà, la position n'est pas facile. Offrir son intimité féminine à un homme est toujours dangereux. Avoir une virilité pénétrante derrière soi et s'offrir à cette virilité peut faire peur. Même
face à l'homme aimé à qui l'on a toute confiance.
Mais la peur n'évite pas le danger. Et cette peur est même une des sources principales d'une fabuleuse excitation
Alors quand on se met à quatre pattes, la tête enfouie dans la terre et totalement nue, entourée d'une meute d'homme assoiffés de désir, l'excitation peut devenir extraordinaire
Se soumettre, c'est se mettre en danger. Avec des limites bien sur. Mais avec des limites bien définies, la soumission peut et doit atteindre des sommets d'excitation
Pas besoin d'être punie ou d'être bondagée pour attendre au coin de la pièce, face au mur blanc de sa soumission, totalement nue, à genoux et les mains derrière la
tête
Toute soumise, tôt ou tard, se retrouvera dans cette position
C'est là qu'elle méditera sur sa situation, longuement, patiemment, humblement. C'est là qu'elle réfléchira sur sa condition, son impuissance, sa dépendance,
sa soumission.
Elle n'aura devant ses yeux que ce mur blanc symbole de son abandon, de sa vacuité et de sa capitulation face à son maître.
Alors que celui ci pourra vaquer comme il l'entend à ses occupations, celle ci sera réduite à n'avoir de champ de vision que le reflet de son
insignifiance
Lentement mais surement, elle pourra s'imprégner de sa condition de soumise et songera à l'étendue du pouvoir de son maître
Qui l'a vu? Film culte parmi les films cultes. Introuvable. Introuvable? Peut être connaissez vous ce film. M. shima est un top du bondage et de la soumission
féminine. Si vous êtes adeptes de ce genre de personnage, faites moi signe!!!!
A bientôt
L'humiliation est le symbole de la soumise
L'humiliation n'a pas de sens pour l'esclave car celle ci doit s'exécuter sans état d'âme
S'il y a humiliation, c'est que la soumise n'est pas assez soumise, qu'elle est en train de dépasser ses limites. C'est un des volets les plus intéressants dans une relation de domination.
L'humiliation est une ouverture vers un autre monde, le monde intérieur de la soumise. C'est ce qui donne le plus d'émotions à cette relation.
Quelle femme n’a jamais eu peur de devoir pisser derrière une voiture et risquer l’humiliation d’être vue par un inconnu. Mais aucune femme non plus n’est morte d’avoir été surprise en train de pisser. Cela fait même un souvenir croustillant à raconter à ses amis.
