Dimanche 26 juillet
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09:55
Prenons comme exemple la fessée
Les hommes sont forts, les femmes résistantes. Cela depuis la nuit des temps. Cela veut bien dire ce que cela veut dire. Les femmes, quoi que la plupart s'en défendent, sont sur terre pour
recevoir de leur bien aimé une fessée bien méritée
Par leur nature même qui est plutôt de recevoir que de donner, par leur actes qui souvent attisent les désirs les plus profonds, les femmes, même inconsciemment, ne peuvent
qu'aiguiser ce genre de pratique
De par mon expérience, et par conviction, je pense même que toutes les femmes, à différents degré, ont ce fantasme. Etre fessée pour son mari ou par son maitre fait parti des preuves d'amour
qu'une femme aime à donner
Dieu a si bien fait les choses qu'il a doté les femmes de fesses plus larges que celles des hommes, afin que même le plus malhabile des fesseurs ne puisse pas louper la cible.
Par mbound
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Lundi 20 juillet
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20:01
L’adaptation est la qualité primordiale de l’esclave.
Avant de lui imposer quelques règles que ce soit, ce sera toujours dans l’optique d’améliorer cette qualité. Elle ne pourra bien obéir que si elle améliore cette
qualité. Il faut vraiment insister sur cette qualité car toutes les règles, toute l’éducation que l’on mettra en place sera par rapport à cette qualité.
La soumise devra s’adapter aux règles que son maître lui imposera, aux ordres que son maître lui dictera.
Après son vœu d’obéissance, elle aura à cultiver cette qualité tout le long de sa vie de soumise car c’est à cette qualité que l’on aura à la juger
Par mbound
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Lundi 22 juin
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20:14
On dit toujours que le plus vieux métier du monde est la prostitution. Mais est ce que le dernier métier du monde ne sera pas celui la. Le dernier, le seul
l'unique.
A la fin des temps, plus un seul métier, plus qu'un seul métier, pute. Le seul métier digne de s'appeler métier, peut être
Et les hommes payeront en temps, en temps passé auprès d'Elle. Quelle monnaie digne de ce nom peut-on dépenser à part le temps qui passe.
Par mbound
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Mardi 9 juin
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22:46
Vivre sa soumission, c'est la quête de la vérité.
Dans le "langaeg parlé", dans l'écoute des sens, de tout ses sens, c'est aller au bout de sa nature profonde, sa nature
immémoriale.
Quand je parle de chemin, c'est une recherche sans fin vers une authenticité, le rejet des faux semblants, la révélation au sens plein de sa nature
profonde, Sans concession aucune
Et bien sur, la vérité n'est qu'une utopie. Mais c'est cette utopie qui rend la vie plus belle ou la vie plus dure, mais c'est cette quête de cette
utopie qui nous anime et grâce à elle que nous nous sentons vivre
Par mbound
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Samedi 6 juin
6
06
/06
/Juin
10:34
Bien sur, la femme est l'avenir de l'homme. Bien sur qu'il nous faut leur ouvrir la porte. Bien sur qu'il nous
faut leur parler avec le plus grand respect. Tout le monde le dit, tout le monde le pense. Quel horreur. Ne pas respecter les femmes, quel horreur. Cela fait parti de la grandeur de l'homme, de
l'homme avec un grand H.
Oh, le vilain petit canard. Oh!!! Cet affreux monsieur qui pense aux femelles mais non aux femmes. Quel honte pour l'humanité. Quelle honte pour L'Homme. L'Homme ne serait il qu'un sexe? Ne
serait-il qu'un animal? On ne peut le croire.
Les bonnes gens ne peuvent pas le croire en tout cas. L'ambition humaine nous fait tant plaisir. Nous ne pouvons ne pas déroger à cette pensée unique. Elle nous tenaille et nous tyrannise.
Je dirais même "mais nous tyrannise"
Alors, des fois, seulement des fois!! (Pour rassurer les bonnes gens), alors seulement des fois, nous les hommes, avec un petit h, nous pensons au sexe des femmes
Et des fois, seulement des fois, nous pensons à la virilité, aux méchantes pulsions qui nous animent, et qui nous font penser que les femmes sont faites pour êtes pénétrées, fouillées, labourées
en dépit de notre humanité idéalisé.
Mais tant d'horreur au nom de cette humanité, tant de crime au nom de cet humanité nous font penser que quelque fois, seulement quelques fois, nous pensons que le sexe reste le fondement, sans
jeu de mot, d'une naturalité rassurante et tellement vraie, même si les abstractions journalières nous font oublier qu'un homme restait, reste et restera le plus grand bonheur donc le plus grand
malheur des femmes.
Chacun ses mystères
Par mbound
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Mardi 26 mai
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/05
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17:01
Un homme est par essence machiste. Cela depuis la nuit des temps et jusqu'à la fin des temps
Le féministe n'est que la tentative de certaines femmes de se défaire du joug des hommes. Effort respectable mais vain
On veut nous faire croire que les femmes sont l'égale de l'homme mais une femme sera toujours inférieure à moi. C'est peut être
un parti pris mais c'est le mien. Rien ne les empêche de penser autrement. C'est la règle du jeu
La relation dominant dominée, c'est une relation qui remet la loi naturelle à l'ordre du jour. Et malgré ce que l'on peut y
penser, on peut parfaitement vivre en parfait harmonie avec cette loi
Ce qui a toujours fait la force des femmes est leur fragilité. Leur soi-disant fragilité. Mais toujours dans cette règle incontournable de la dualité, la force donne la main à la fragilité et
inversement.
De toute façon, se soumettre, c'est avant tout se soumettre à soi-même.
Par mbound
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Vendredi 22 mai
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22
/05
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21:24
Au fur et à mesure de sa progression, la soumise doit offrir ce qu'il y a de plus intime en elle. De l'offrir sans calcul et sans profit. Et ce qu'il y a de plus
intime, c'est le baiser. Ce que même les prostituées refusent d'offrir
La soumise doit s'offrir au baiser le plus profond, le plus salé et salivé et s'exposer à l'intrusion ultime d'une langue virile
La fouille intime doit être totale et impérieuse car c'est par la bouche que la soumission s'exprime le mieux
Par mbound
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Lundi 16 février
1
16
/02
/Fév
18:52
Etant donné que la soumise se réduit à devenir l'objet de son maître, elle ne sera pas autorisée à parler en son propre nom. Le "je" lui sera donc formellement
interdit. La dominée sera au service de sa partie soumise et ses sensations n'auront aucun intérêt dans sa relation de soumission. Elle n'a le choix que du début et de la fin de sa soumission,
Entre les deux, ce sera la responsabilité exclusive de son maître
Ses propres sentiments et sensations seront laissés de côté, du moins tus, pour ne pas perturber le plaisir de son maître, sauf si celui ci le désire évidement
Mais s'il ne le désire pas, la soumise devra être capable de n'être qu'un outil totalement dévoué à l'utilisation de son maitre. Tout son être devra être concentré à faire de sa partie soumise un
outil acquis à son maître
Etant donné que c'est par la parole que les choses essentielles sont exprimées, ce coté de l'éducation de la soumise fera l'objet d'une longue et patiente éducation
Par mbound
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Publié dans : soumission
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Vendredi 13 février
5
13
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/Fév
22:15
La vie suit son cours. Entre travail et
amours, entre la nuit et le jour, la vie passe si vite, rempli de tant de choses. Mais l'expression de ses sentiments les plus profonds est une difficulté pour la plupart des humains de cette
planète.
Paradoxalement, c'est peut être en lui posant un bâillon sur sa bouche que ces sentiments ont le plus de chance de sortir. C'est en congestionnant pour un temps les voies habituelles d'expression
que ces sentiments sont pris au piège, sont forcés à suivre des routes inconnues et peuvent alors contourner les dites difficultés
Oui, décidément le bondage est une thérapie
Par mbound
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Publié dans : bondage
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Mardi 10 février
2
10
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21:51
Les commandements d'une soumise n'est sont surement pas au nombre d'une décade. C'est bien trop. Sept suffisent largement. Il faut concentrer beaucoup plus les
ordres à lui donner. On doit aller à l'essentiel et l'essentiel est bien sur résumé dans les sept pêchés capitaux. C'est facile à retenir et facilement applicable
Je vous rappelle donc ceux ci ; la paresse, l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la convoitise et l'envie
La paresse est bien sur refusée à la soumise. La soumise est la main ouvrière des envies de son maître. Même attachée, elle n'a pas le droit à l'oisiveté. Elle est en charge des
basses oeuvres de la maison et en général de tout ce que son maître n'a pas s'abaisser à faire
l'orgueil fait parti d'un des principaux travaux auxquels la soumise doit s'attacher. Oter l'orgueil qui est en elle, la chasser impitoyablement au prix d'efforts continus et
importants, avec ou sans l'aide de son maître
la gourmandise fait parti de la panoplie des frustrations que la soumise doit se soumettre. C'est le symbole du renoncement de la soumise. C'est le renoncement aux plaisirs
simples de la vie
la luxure se comprend très bien où les plaisirs de la chair lui seront refusé, du moins entièrement contrôlés et savamment distillés. La soumise est l'objet sexuel par
excellence.
L'avarice peut se comprendre par le don sans faille du corps de la soumise en faveur de son maître. Elle doit s'offrir sans retenue, corps et âme, en toute sincérité
La convoitise n'est pas permis à la soumise. Elle doit se contenter de sa soumission et d'y concentrer toute son attention sans se préoccuper des conséquences ni de
l'environnement qui pourrait perturber son chemin de soumission
L'envie n'a aucun sens pour la soumise étant considérée comme un objet, un outil, une extension des envies du maître. Ses envies sont parti négligeable face aux envies du maître
mit en lieu et place des propres envies de la soumise
En conclusion, les sept pêchés capitaux sont un bon résumé, une belle symbolique, de l'état dans lequel la soumise se condamne à être, pour une heure ou une vie, pour un instant ou
pour l'éternité, pour un maître ou pour un dieu, mais surtout face à elle même
Par mbound
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