Ceci est un espace pour les adeptes de la soumission féminine, du bondage à l'humiliation, en passant par la fessée. Pour se rencontrer, discuter,
échanger sans tabou nos pulsions communes.
Ceux qui sont choqués peuvent s'en aller, je ne demande simplement que le bon consentement des bonnes règles de notre propre liberté
Mélangeons nous, partageons tout
Tout est langage, communication. Et donc comme
partout, le langage de la soumise est important. Il a ses codes, sa logique et ses rites
Mais que ce soit dans l'action, oralement ou par écrit, la soumise se doit d'exprimer les sentiments qui se passent en elle en toute franchise et dans la loyauté la plus stricte
Et il faudra bien exprimer les mots qui fâchent, que l'on veut tant cacher. Il faudra bien que la soumise exprime les mots qu'elle n'ose pas dire mais qui sont bien dans nos têtes, au
moins en fantasme
Quelle femme ne s'est pas retrouvée à quatre pattes, en chaleur, n'espérant qu'être prise en levrette, ouverte et offerte, s'excitant dans sa position de chienne en chaleur
Quelle femme n'a pas caché au fond de ses fantasmes d'essayer un fois de faire la putain et quelle femme n'aime pas au coeur de l'action de se faire traiter de salope
Et enfin, quelle femme n'a pas rêvé d'être attachée à un poteau entourée d'affreux indiens, tellement sauvages mais tellement beaux, en n'espérant qu'une seule chose, que la cavalerie arrive un
peu trop tard pour que ces affreux indiens puissent la violer délicieusement que même c'est pas de sa faute car elle est attachée
La soumission, c'est oser exprimer ses fantasmes
La punition n'est jamais mérité que par la
soumise elle-même. Si elle n'est pas encore prête et a encore besoin d'un maître pour se punir, il n'en est pas moins vrai que c'est elle et elle seule l'unique responsable. Elle n'a qu'à s'en
prendre qu'à elle même et devrait donc le demander elle-même
Un maitre n'a nullement besoin de trouver une quelconque excuse pour punir sa soumise car par essence, l'état de soumission est une demande de punition. Une punition physique ou mentale. Et à la
limite, toute action de sa part n'est qu'un prétexte à sa punition
Comme une séance chez le psy, les séances de soumission sont un laps de temps où la soumise ne se consacre qu'à elle mais dans ce cas là, elle se met en pénitence, expurge ses bas instincts et
soulage sa conscience. Cela vaut largement une séance chez nos confrères
Et une fois la pénitence consommée, dans ce rituel de pénitence, sa tête est vidée de tous ses complexes et la vie semblera beaucoup plus légère à la soumise
Toutes les soumises savent que leur corps appartiennent à leurs maîtres C'est un fait établi et reconnu par tous. Mais il ne suffit pas de le savoir, il faut
le faire savoir. Les paroles s'envolent et s'oublient mais les écrits restent. L'un des meilleurs moyens est donc d'écrire à même leur corps ce qu'elles sont inévitablement, un objet de
plaisir,
Le libre accès à leur intimité faisant parti de leur engagement, étant souvent même, mais pas tout le temps, le moteur de leur engagement, la notification de ce qu'elles sont sur la partie la
plus charnue de leur intimité révèle la qualité essentielle d'une bonne soumise, la praticité
Une soumise est pratique, facile d'utilisation, c'est même écrit dessus, comme un boite de conserve sur laquelle est écrit le mode d'emploi
Si d'autres pourraient prendre ces mots pour des insultes, les notes écrites sur le corps de la soumise ne sont donc que le reflet de ce à quoi elles aspirent, être un objet de plaisir totalement
dévoué à leur maître, et cela sans même devoir le préciser par des paroles superflues
Soumise ou non soumise, voilà le nouveau sport a la mode notamment en Angleterre. Le dogging. Le dogging est la baise en semi publique dans des parkings la plupart
du temps la nuit avec des inconnus
Oui, un sport. Peut-on considérer la baise comme un sport? L'idée n'est pas ridicule même si la baise est bien plus que çà. Qui peut le plus peut le moins
En tout cas, se faire prendre comme une chienne est un des fantasmes récurrent des femmes. Se sentir entourée par tant de désirs masculins et s'y prêter docilement fait parti d'une excitation
féminine souvent refoulée mais latente.
C'est une forme de soumission. Une soumission à ses pulsions, à son désir sexuel que la soumise connait bien mais qui est beaucoup plus répandu que dans le simple milieu BDSM.
Nue, tripotée, exhibée, baisée, fouillée de toute part, l'épreuve parait difficile à surmonter mais est indispensable à la condition de soumise
Certaines femmes s'en défient. D'autres se rebellent. Mais depuis la nuit des temps tout ce passe sous un même schéma. Ont-elles un karma particulier.
Sont-elles fautives? Sont-elles condamnées à servir l'homme, à servir de faire valoir?
A croire même qu'elles aiment çà. Tant et tant d'années, que dis je, de siècles ne s'effacent pas comme çà. Au fond de leur inconscience, au fond du trou, il y aura toujours moyen de trouver
l'accroche pour que les femmes dévouent à la vie et qui fait qu'elles peuvent, qu'elles savent se dévouer corps et âme. Ceci n'est qu'une histoire de savoir faire
Même pour les plus rebelles, l'homme saura toujours trouver le seul petit manque qu'il leur fait tellement défaut. La majuscule. Et qui fait le principe de l'Etre "femme". Un dévouement
absolu, voir une dévotion divine au dieu phallus. Les femmes n'aiment pas Dieu, elles sont Dieu
Soyons donc des Dieux
Et pour arriver au sommet d'une féminité souveraine, la chute doit est vertigineuse et incontrôlée
La soumission est un long chemin, parsemé d'embuches. Chaque jour, chaque étape demande un effort de la part de la soumise. Il ne faut pas se cacher la face. Le
chemin est difficile
Cela demandera du courage, de la persévérance et requerrait de la part de la soumise un grand sens du sacrifice
C'est pour cela que l'on parle d'éducation, voir de discipline. Mais au bout du chemin, il y aura la lumière. Au bout du chemin, l'éveil des sens sera la récompense de la soumise
La soumission est l'anti thèse du naturisme
Etre nue parmi des gens nus n'a rien de très excitant. Cela banalise la nudité. Chacun ses goûts, certes mais il n'y a rien de moins excitant que le nudisme
Cela enlève tout tabou au corps, enlève toute charge émotionnelle au corps alors que la soumission est la maitrise de cette charge émotionnelle justement.
La soumission n'est pas l'annihilation du tabou mais la sublimation du tabou
Se trouver nue devant son maitre, devant les autres, c'est dépasser l'interdit. C'est oser s'exposer, s'exhiber, se frotter au dénuement face du regard inquisiteur de l'autre
C'est un des principes fondamentaux de la soumission. La soumission au regard de l'autre
Le ressort absolu de la soumission est l'humiliation.
On peut aimer la douleur, le bondage, ou toute perversion BDSM mais le goût de l'humiliation, voir de la dégradation est l'essence même de la soumission
La soumise doit aimer s'humilier, gouter au gout amer des vexations, des outrages moraux, et de la honte et boire le calice jusqu'à la lie
Et quand l'humiliation se fait moins forte, avec l'habitude, il faut trouver d'autres humiliations encore plus amères, encore plus profondes
De là, l'autre rôle du maitre. Celui de maitre d'âme. Pour satisfaire le goût de soumission de la soumise, trouver d'autres exercices, d'autres expériences pour humilier à nouveau sa soumise et
l'emmener vers sa condition ultime, celle d'esclave
Mais le chemin est sinueux et plein de surprise
La soumission est mère de patience et d'humilité
Le maitre n'est pas bien sur celui qui a le rôle le plus important. Il a comme rôle principal d'être l'arbitre. L'arbitre de l'avancement dans sa soumission de sa
partenaire
Dans sa quête, la soumise n'a que le maitre pour jauger son cheminement, mettre des bornes. Elle ne peut elle même se juger suffisamment soumise. Elle n'a aucune compétence pour estimer ses
progrès étant donné que sa nature soumise lui ôte toute responsabilité
Elle a le devoir de se soumettre, de tirer toutes les conséquences de son statut et doit s'en remettre totalement à son maitre d'âme
La soumission est une école de fair-play
Une esclave ou un esclave ne doit pas exister, ne devrait pas exister. Ce mot de devrait même pas exister
A part sur certaines planètes comme la terre, ce mot n'a aucun sens dans une société démocratique, j'allais dire humaine
Si ce mot, veut dire quelque chose, ce ne serait qu'un concept absolu vers lequel la soumise tendrait sans jamais l'atteindre. Ce serait l'étape ultime mais toujours inaccessible du chemin
de soumission
