Lundi 1 décembre
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Le bondage fait partie intégrante du la soumission. On ne peut dissocier le bondage de la soumission. Et la soumission
est elle-même une thérapie
La soumission, c'est l'école de la vérité. Ou l'on peut explorer tout ce que d'habitude on veut cacher.
C'est que nous ne sommes pas des caniches de concours.
Je n'envie pas la vie de celle que je viens de citer dans mon précédent article. Elle même peut être, surement même, est
consciente de l'esclavage qu'elle subit.
Oui, nous sommes faits de sentiments, bons ou mauvais, gentils ou méchants. Et l'exprimer ne peut que nous faire du
bien
Le bondage est l'expression de cette relation dominant, dominé. Où par ces jeux de cordes ou bien d'autres choses, se
cachent concentrés tous les sentiments vitaux
Mieux vaut être un bon animal de compagnie qu'un être humain asséchés par ses propres chaines
Vive les chiennes!!! En collier ou plus si affinités.
Par mbound
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Lundi 1 décembre
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Voici la reine des soumises. Du matin au soir, du soir au matin. Et cela depuis des années. Soumise au protocole, à l'institution. Une soumise exhibitionniste
puisque sous les projecteurs continuellement.
Elle en a même le collier
Et elle aime çà, la coquine. Pourtant son esclavage est 24 heures sur 24. Une soumise sans répit. Une soumise à temps complet.
Et même en captivité, elle a fait des gosses. Comme quoi elle a été bien dressée.
D'où son sourire étincelant. Ah, ces anglais. Même pas besoin de fessée déculottée avec elle. Mais qui sait? Cela pourrait devenir un beau fantasme, le fantasme
absolu d'un maitre
Par mbound
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Lundi 1 décembre
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Quand on aime le bondage, on doit s'attendre à sécher. Sans aucun espoir de se libérer par soi même. C'est la règle du jeu. Mais c'est là que commence la magie du
bondage
On ne peut que réfléchir, c'est déjà une très bonne chose. Et on espère. On espère que son maitre arrive.
Que peut-on faire quand on est pendue écartelée dans son jardin, comme le linge qui pend lamentablement au fond du jardin? C'est avant tout une leçon d'humilité
pour la soumise, et un beau spectacle pour le maitre
Par mbound
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Publié dans : bondage
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Lundi 1 décembre
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00:27
Une pute n'embrasse pas. Une soumise doit présenter sa langue. Voyez cette adorable soumise La laisse au cou et la vérité au front. S'exhibant soumise. La langue
est présentée, pour y accueillir tout ce que son maitre désirera. Mais un long dressage sera nécessaire pour arriver à cette photo
Par mbound
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Dimanche 30 novembre
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23:26
Se soumettre, c'est accepter le pire, c'est s'offrir à tout
Que ce soit en pur fantasme ou si l'on passe à la réalité, la soumission est une utopie
Le monde intérieur de la soumise s'enrichi au fur et à mesure de ses expériences. Et la force de la soumise augmente au fur et à mesure de sa
dégradation.
Une pute choisi ses clients, ses "partenaires". Pas la soumise. Une fois qu'elle a accepté sa soumission, elle doit être disponible, un point c'est tout. Elle n'a
de responsabilité qu'envers son monde intérieur et doit faire une totale confiance à son maitre.
Au fur et à mesure de sa dégradation, elle ne doit plus offrir de barrière à son intimité. C'est tout un dressage qu'il lui faudra apprendre
Par mbound
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Mardi 23 octobre
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La soumission est avant tout une démarche.
On ne peut rien imposer à la soumise si celle-ci n’est pas convaincue qu’elle est faite pour être soumise et accepter toutes les
dimensions de son acte
C’est un peu comme pour aller chez un psy. C’est de toute façon, une psychothérapie.
Où l’on veut expurger, exhiber, expier et offrir à l’autre tout ce que l’on veut cacher
La soumission est une perversion. Soit. Mais le propre de l’humain n’est il pas la perversion
La relation humaine est avant tout une relation de dominant-dominée.
La ritualiser la fait devenir dominée-dominant car elle est pensée, voulue, consentie dans les moindres détails.
Tout ce qu’il y a de symbolique dans la relation entre les hommes se retrouve consacrée au sens spirituel dans la relation de
soumission
Dans la douleur et le sacrifice de son corps, la soumise s’en remet à l’autre comme à un Dieu
Ceci n’est pas anodin et demande un acte de consentement confessé
Par mbound
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Mercredi 17 octobre
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La soumise est l'exécutante. Soit. C'est elle qui dans l'imaginaire de beaucoup exécute les basses besognes, fait tout ce qu'on lui
dit, est bien pratique. Tout ce qu'en somme un homme fantasme de posséder, une femme à sa botte
Mais en faisant le parallèle avec le cinéma, la soumise en serait l'actrice. Et le maitre en serait le metteur en scène. Il n'y a pas de supposée supériorité du metteur en scène sur l'actrice ou
l'acteur. Chacun a son rôle propre. Celui de l'actrice est d'exprimer, de ressentir ce que le maitre désire et imagine.
Une actrice n'est pas une marionnette, mais un rouage essentiel du couple dominée-dominant
Par mbound
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Jeudi 11 octobre
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Je vais revenir une fois pour toute sur le public auquel je m'adresse
Ce blog parle de soumission et de domination, donc de soumise et de dominateur. C'est selon moi c'est l'étape ultime, expurgé de ses habits de nos conventions du rapport homme-femme (gay pour les
intéressés).
Ce blog s'intéresse à çà et rien qu'à çà et ne s'intéresse nullement à l'être humain que vous êtes et que je respecte
Alors revenons donc sur les acteurs de cette relation
La relation soumise-dominant est avant tout faite par des êtres humains, avec leurs qualités et leurs défauts. Un homme brutal sera un
maitre brutal. Il ne faut pas se leurrer. Le désir est avant tout brutal car l'afflux mou de sang dans un sexe d'homme donne un sexe mou. L'afflux brutal du sang dans un sexe d'homme fait un sexe
dur. Le désir est par essence violent. La brutalité ou la douleur peut être recherchée par la soumise. Tout n'est que question de consentement et de pratiques
De toute façon, la vie elle même est brutale. La mouche la plus sotte ne vous fera aucun mal même si elle rate lamentablement son atterrissage. L'eau de pluie s'abat brutalement sur votre peau et
n'en est pas moins une caresse bien agréable. Pourtant elle peut devenir une torture bien plus grande que le fouet
Comme rapport ultime, ritualisé, cette relation ne peut dénier la douleur et la brutalité
De toute façon, le rapport à la douleur est tout personnel. Dans son rôle d'éducateur, le maitre a comme rôle principal la gestion du
rapport à la douleur de sa soumise. C'est même un des buts avoué de cette relation. C'est ritualiser le rapport à la douleur de la soumise. Pour mieux l'expier
C'est bien pour çà que c'est la soumise qui choisit son maitre. C'est avant tout elle qui initialise et rompt le contrat entre elle et
son maitre car c'est elle qui en subira les principales conséquences.
Il n'y a pas de relation viable entre être humains s'il n'y a pas consentement mutuel et convergence d'intérêt et la relation BDSM n'y
déroge pas.
Le choix que la soumise fait est à la limite le plus important dans la relation. Car c'est elle qui donne le top de départ et ses
propres limites
C'est avant tout elle la maitresse de sa soumission et j'ose dire que le maitre est soumit à sa domination
Tout çà pour vous dire que sur certains site ou blog où vous pourrez lire les délices de la tendre fessée, le faux romantisme d'une
relation fade et édulcorée qui n'a rien à voir avec la relation dominée-dominant. Cette relation est bien plus qu'un rose fantasme. Le passage à l'acte est toujours brutal mais sainement brutal.
C'est lui qui donne la réalité à nos pulsions et qui en donne un sens
Par mbound
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Publié dans : garde fou
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Mercredi 10 octobre
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Désolé d'employer ce mot là, mais il faut bien employer le mot adéquat. Je veux parler de votre partie sombre que beaucoup d'hommes définissent en vous traitant de
salope. Et oui mesdames, des fois, pas tout le temps bien sur, vous êtes de bonnes petites salopes
La soumission s'adresse particulièrement à ces femmes qui n'osent pas l'accepter ou qui ont besoin de s'en culpabiliser.
Elles remettent leur instincts soit disant sales à l'homme, qui peut y mettre beaucoup moins de sentiments dans la sexualité. La soumission en est simplement la ritualisation où on se remet
totalement au maitre qui déculpabilise la soumise
Par mbound
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Lundi 8 octobre
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21:56
La soumise a par essence un devoir d'exhibition. Dans son devoir de transparence, rien ne doit être caché à son maitre et en premier lieu son corps
Comme elle le met à disposition, le maitre doit pouvoir l'utiliser le plus facilement possible. Le corps de la soumise sera ainsi entièrement disponible pour porter
les ornements de son maitre. Que ce soit un simple parfum, ou un collier, ou tous autres accoutrements laissés à la convenance du maitre
C'est aussi le signe de son dénuement. On est toujours nu sous ses vêtements. Cet adage est particulièrement adapté aux soumises qui ne portent plus l'habit pour
leur plaisir mais uniquement pour le plaisir de leur maitre
Ce dénuement sera d'autant plus cru que son maitre sera habillé
Après, selon le degré de soumission de la soumise ou leurs pratiques habituelles, l'exhibition pourra être publique. D'abord devant un public averti puis devant
tout public
Par mbound
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