Ceci est un espace pour les adeptes de la soumission féminine, du bondage à l'humiliation, en passant par la fessée. Pour se rencontrer, discuter,
échanger sans tabou nos pulsions communes.
Ceux qui sont choqués peuvent s'en aller, je ne demande simplement que le bon consentement des bonnes règles de notre propre liberté
Mélangeons nous, partageons tout
Dominer sa soumission et soumettre sa domination.
Voilà le maitre mot
Voilà la réalité d’une relation de saine et viable.
La soumise ne peut donner que sa parole, Mais n’est ce pas là le plus important ? C’est le plus important. Car se sera à elle-même qu’il faudra qu’elle s’en prenne si elle transgressait sa parole donnée.
Pour le maitre, son pouvoir se limitera toujours aux possibilités de sa soumise. Il ne pourra donc pas faire tout ce qu’il voudra et devra examiner après un retour d’expériences l’avancement de sa domination.
Tout le reste ne découle que d’une appropriation de cette parole donnée et de sa mise en pratique.
Certaines femmes souhaitent et envisagent de se raser les cheveux. Pour de multiples raisons.
Le crâne chauve est la marque visible d’une affirmation de rupture, de révolte et de profond désir d’exister puisqu’elle ose être elle-même et se montrer dans sa différence.
La métamorphose est radicale, visible et ostensible. Mais le geste n’est violent qu’en regard de sa portée symbolique, car la transformation sera éphémère et réversible.
Se raser la tête est un acte de transgression qui convient parfaitement à un acte BDSM
Voici donc un bel exemple de ce qu’une soumise confirmée pourra offrir à son maitre.
Ce sera un sacrifice, une preuve importante et convaincante de l’engagement qu’elle pourra fournir à son maitre.
De plus, la queue de cheval rehaussera la beauté de ce crane rasé et aura le grand avantage pour son maitre de pouvoir la tenir fermement et faciliter sa manipulation pour de multiples usages.
Il aura aussi l’avantage de se démarquer des femmes qui se rasent la tête simplement par soucis d’esthétisme et accentuera la motivation nécessaire à toute soumise.
La vie d’une soumise n’est jamais facile. C’est ce qui en fait le prix.
Le simple fait de marcher requiert de la soumise des efforts que notre vie quotidienne nous à fait oublier.
Mettre un pied devant l’autre nous parait d’une facilité enfantine. On a oublié nos gamelles, nos chutes, nos échecs et nous marchons maintenant sans même y penser.
Il ne faudrait pas se moquer d'une démarche pénible et gauche mais qui, à notre grande honte, n’a pas rigolé à la vue d’une chute malencontreuse, d’une gaffe ridicule ou d’un lapsus révélateur. Surtout si c’est le maître lui-même qui l’a menottée aux chevilles.
Notre soumise nous permettra donc de nous en moquer sans honte, nous permettant de nous délecter de la voir si malhabile, si limitée dans sa démarche, sans pouvoir nous empêcher évidemment de raccourcir la chaine pour accentuer la difficulté du cheminement.
Elle pourra elle-même se voir, s’admirer impuissante à marcher correctement, à se voir courir si lentement, à galoper à petits pas, à si petits pas, à si courte foulée.
Elle pourra même s’y entraîner elle-même pour sa satisfaction personnelle.
Oui, j’ai osé. Un thermomaitre. J’ai osé cet à-peu-près. Oh là, là, là, là. J’aurais presque honte.
Mais pour ma décharge, cet à-peu-près n’est pas si éloigné de la réalité.
Car le maitre est le récepteur des chaleurs internes des bouillonnements intimes de sa soumise.
C’est lui le guide, le révélateur et le témoin de la fièvre énamourée que peux éprouver toute femme tombant dans la soumission sexuelle. C’est lui qui prélève l’affectation que peut engendrer son propre pouvoir que lui aura accordé sa soumise sur son propre elle-même.
Il recueille la touffeur passionnée qu’aucun autre objet que la femme ne peut fournir au désir de l’homme
Mais si la femme est un objet, c’est pour n’être que le but d’un objectif, d’une démarche, d’un idéal masculin si peu idéal, mais tellement charnel. On en revient là, à une autre dualité masculine, une autre dualité dans la dualité, respecter la femme dans l’irrespect.
La femme enfant, la femme « femme », la femme mère, la femme tout, la femme dans toute sa splendeur n’aura d’incarnation que si elle est soumise à l’homme. Peu ou prou cet à-peu-près de vérité, ce couillou d’homme ne peut être qu’un instantané de la vérité qu’est l’éternel féminin
Pour prendre la température, il faut bien inciser les chairs, pénétrer la viande, s’enfoncer jusqu’à l’os, jusqu’au cœur du cœur de la féminité.
Le maitre mesurera vos compétences, estimera vos capacités, brisera vos appétences, et jaugera votre féminité. Il sera la sentinelle de vos indignités mais le gardien de votre féminité en prélevant au plus profond de vous les indices calorifères de vos émois.
La séduction d’une femme par un homme est souvent considérée comme une victoire, au sens guerrier du terme.
On peut effectivement dire que c’est une victoire. Une grande victoire. Une belle victoire. Mais comment les femmes considèrent elles cela ? Comme une défaite ? Une humiliation ?
Les hommes pourraient le croire, voudraient bien le croire.
Mais le contraire d’une force n’est pas une faiblesse. C’est une autre force. Une action engendre une réaction, qui n’est autre qu’une force aussi forte que la précédente s’il y a équilibre et qui de toute façon s’y oppose.
C’est pour cela que la séduction d’une femme par un homme est aussi une victoire pour les femmes. D’où la réaction habituelle des femmes, « il m’a choisi »
Ce qui peut paraitre paradoxal mais qui fait intégrante de notre dualité habituelle
Si c’est l’homme qui généralement prend les initiatives, c’est bien sous l’aval des femmes. Cela ne peut en être autrement. Ce sont deux forces qui s’affrontent pour trouver un point d’équilibre, pour trouver le lieu de leurs plaisirs communs entre venus et mars.
Mais ce ne sont pas deux mêmes forces. Deux mêmes forces vont dans le même sens. Les hommes et les femmes sont deux forces contraires, qui s’affrontent, qui s’opposent.
On est loin de l’amour avec un grand A. L’amour est fait de sang et de sueur où seule la défaite serait dans l’extinction de cette relation. Cette défaite qui ressurgirait dans les deux camps
C’est pour çà qu’une femme n’est pas un homme en mieux. Ni l’inverse évidemment.
C’est cette guerre qui nous fait vivre, qui nous fait avancer. Mais pour que cette guerre soit saine et salutaire, il faut que les assaillants ne se cachent pas derrière des poncifs et des généralités.
Il nous faut des assaillant(e)s vivants, vivaces et résistants, dignes de nos querelles intestines
Pas des femmes telles qu’elles voudraient être, ou telles qu’elles ne voudraient pas qu’on veuille ce qu’elles ne veulent pas être, ou tout cheminement intellectuel totalement alambiqué.
Non, tout simplement une femme telles qu’elles sont. Dans toute leur sincérité. En leur sein, dans le tréfonds de leur âme, comme des êtres humains à part entière. Avec leur passé et surtout avec leur avenir encore à imaginer et à embellir.
Ce ne sont pas nos ressemblances qui nous rapprochent, mais nos divergences.
On ne saura jamais ce que sera une femme, ou ce qu’à été une femme. En dominant les femmes, c’est peut-être tout simplement essayer de dominer la part de féminité bien vivante et bien présente qui sommeille en tout homme, avec le cochon, bien sur.
Dominer sa soumise, c’est essayer de vaincre la part de féminité qui est en nous
Voici les menottes idéales pour le plus grand nombre. Celles que je recommande.
Idéales pour les débutantes et les confirmées.
Vous pourrez les porter sans risque car elles sont suffisamment larges pour ne pas vous blesser et ne pas couper la circulation sanguine.
Elles sont réglables, simples, sans fioritures, idéales pour une soumise.
Vous y serez à l’aise et vous pourrez les porter dans toutes vos activités quotidiennes.
Le cuir est évidemment un aspect important puisqu’il rendra confortable le port de cet indispensable accessoire de la parfaite soumise
Vous me reprocherez après de ne pas m’inquiéter de votre confort !!!
Dans la froidure de l’hiver et la rigueur de la campagne, on peut toujours trouver un peu de réconfort. Et quel meilleur réconfort qu’un homme, même ci celui-ci est un peu bonhomme.
Dans la froidure de la cité et la rigueur de la vie, la soumise attend de sa flamme la ferveur et l’exaltation qui la fera avancer.
Sa source de chaleur, l’effervescence de nos passions, la fièvre de la vie ne se trouve pas dans les amours faciles, tièdes et sans saveur mais dans une quête résolue d’émotions fortes et brulantes.
La pointe de son maitre l’enfouraillera, la tiraillera et l’écartèlera pour lui fournir la chaleur que son tempérament lui demande de trouver chez l’autre, chez des autres, chez un autre.
Sans être un yéti, il saura l’animer pour faire fondre la glace de ses limites en attendant la saison déjà latente d’un été de certitude.
Le maitre pourra être alors la lame glaciale du fourreau engourdi mais déjà brulant des feux de la passion.
Les moments de soumission sont des moments où la soumise peut tout tester, doit tout tester.
Même si elle n’est pas attirée par les femmes, surtout si elle n’est pas attirée par les femmes, la soumise se doit d’expérimenter avoir des expériences avec d’autres femmes
Surtout si cette femme est elle-même soumise.
La mère est connue. C’est un des piliers de la nature. Sans le moindre doute.
La certitude dans toute sa splendeur et sa plénitude, une évidence inébranlable.
Le base du pilier, le pilier la maison, la maison de nos convictions.
La nature les fait maman. La nature les fait mère, pondeuse, matrice.
Rien ne les fera croire, rien ne pourra les faire croire qu’elles ne seront pas un jour mère.
Même le fruit de cette procréation lui appartient. Sa progéniture lui appartient.
Elle ne fait qu’un avec celle-ci.
Pour le père, que nenni.
Il perce, il insinue et insémine.
Il engendre plus qu’un rejeton. Il insémine le doute.
Il divise ce couple pour en faire une mère et son enfant
Il les divise pour mieux régner
Son royaume n’est pas la certitude mais le doute
La nature l’a fait orgueilleusement futile et redoutablement léger
Pour le bonheur et le malheur des femmes
Même si, de nos jours, on peut savoir avec certitude qui est le père, cela ne change rien.
Ce père, de part son passé, tiendra toujours ce rôle de fauteur de doute car cela fait parti de son origine, de son originalité, de lui-même
Il sera la genèse des doutes en pourfendant les profondeurs de vos abimes.
Sa progéniture aura toujours un doute à son propos.
C’est ce rôle que tiens le maitre, le rôle du géniteur, le rôle du principe viril. Même si ce rôle dans les jeux BDSM peut être tenu par une femme.
Le rôle du maitre est l’incarnation de ce principe universel qu’est la virilité
Le mot est anglais, certes.
Autrement dit, un animal de compagnie, pire une chienne.
Jouer à la chienne, jouer avec une chienne. Voilà un jeu bien excitant
Excitant de tous les cotés.
C’est bien dans ces moments que le jeu prend toute sa charge émotionnelle.
Que ce soit pour le maitre ou la soumise, la magie opère
Des mots crus, même si on ne les dit pas, surgissent inévitablement
Chienne, à quatre pattes, à poil, soumise, …
Que des mots que la société veut tant se voiler la face sur ce que ces mots signifient.
Mais chassez le naturel et il revient au galop.
Notre nature animale nous pourchasse.
