Mai 2024 | ||||||||||
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Oui, j’ai osé. Un thermomaitre. J’ai osé cet à-peu-près. Oh là, là, là, là. J’aurais presque honte.
Mais pour ma décharge, cet à-peu-près n’est pas si éloigné de la réalité.
Car le maitre est le récepteur des chaleurs internes des bouillonnements intimes de sa soumise.
C’est lui le guide, le révélateur et le témoin de la fièvre énamourée que peux éprouver toute femme tombant dans la soumission sexuelle. C’est lui qui prélève l’affectation que peut engendrer son propre pouvoir que lui aura accordé sa soumise sur son propre elle-même.
Il recueille la touffeur passionnée qu’aucun autre objet que la femme ne peut fournir au désir de l’homme
Mais si la femme est un objet, c’est pour n’être que le but d’un objectif, d’une démarche, d’un idéal masculin si peu idéal, mais tellement charnel. On en revient là, à une autre dualité masculine, une autre dualité dans la dualité, respecter la femme dans l’irrespect.
La femme enfant, la femme « femme », la femme mère, la femme tout, la femme dans toute sa splendeur n’aura d’incarnation que si elle est soumise à l’homme. Peu ou prou cet à-peu-près de vérité, ce couillou d’homme ne peut être qu’un instantané de la vérité qu’est l’éternel féminin
Pour prendre la température, il faut bien inciser les chairs, pénétrer la viande, s’enfoncer jusqu’à l’os, jusqu’au cœur du cœur de la féminité.
Le maitre mesurera vos compétences, estimera vos capacités, brisera vos appétences, et jaugera votre féminité. Il sera la sentinelle de vos indignités mais le gardien de votre féminité en prélevant au plus profond de vous les indices calorifères de vos émois.